vendredi 9 avril 2010

Villa Ada

À Roma un parc fait mon bonheur. Villa Ada (c'est son nom) couvre en superficie la moitié de Central Park.

Plusieurs sentiers en terre battue parcourent ce poumon vert. Les vieux arbres, certains très hauts, rafraîchissent la température ressentie. Un lieu idéal pour courir : j'ai l'impression d'être perdue en pleine forêt mais je me trouve dans un parc urbain. Le rêve.

Ce parc ondule de collines, à l'image de la ville. Des escaliers en rondins ou en briques permettent de varier les trajets à l'envi.

Un vaste parcours d'exercices, quelques manèges, un étang avec une presqu'île complètent ce tableau idyllique grouillant de petits et gros chiens, d'oiseaux et d'amoureux en liberté.

Peut-être est-ce la fièvre du printemps ou l'Italie, ou la jeunesse ; je vois partout des couples se faisant des câlins, lisant collés, s'embrassant ou se parlant étendus sur l'herbe comme ici dans cet autre parc, Villa Celimontana, près du Colisée.










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Accepté : une critique amicale relativement à mon niveau de langage jugé trop familier dans un récent billet au goût de Monsieur. Aux autres qui en auraient été aussi vexés, mes excuses.

Ce n'était pas du syle que ce parler relâché, plutôt tourner les coins ronds pour aller me coucher plus vite... L'on ne m'y prendra plus.

En plus nous sommes dans un quartier (Parioli) où le bon goût est de rigueur – et où l'habit importe plus que le moine... – alors je vais bien perler dès maintenant si je ne veux pas encore détonner.

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