Presque 48 heures à Genova (Gênes), grande ville pas très touristique de la Ligurie située à 165 km au nord-ouest de Lucca sur la côte. On ne savait pas trop à quoi s'attendre de cette ville industrielle au passé glorieux avec un des plus grands quartiers historiques de toute l'Europe.
L'autostrada A12 pour s'y rendre est spectaculaire avec tous ses tunnels, points de vue sur la mer Méditerrannée et les carrières de marbre de Massa et Carrara. On passe tout près des fameuses localités de Cinque Terre et ensuite, Portovenere.
Genova est construite à flanc de collines. C'est le plus grand port d'Italie et la cinquième ville en importance du pays au plan économique.
On y allait en partie pour l'aquariu
m, le plus grand d'Europe avec ses 1,3 million de visiteurs par an. Erica et Charlotte ont bien aimé les dauphins, requins, barracudas et autres espèces mais je crois qu'elles vont se souvenir encore plus du lit à deux étages de notre chambre d'hôtel qui s'est vite transformée en salle de jeux vu le temps pluvieux !Côté gastronomie, Genova c'est avant tout le pesto. Oubliez le pesto que vous achetez tout préparé à l'épicerie, ça n'a rien à voir à ce que l'on sert ici sur les trofie, des pâtes courtes en forme de spirale. La lasagne au pesto est aussi de mise. Évidemment beaucoup de poissons et de fruits de mer et du vin blanc de la Ligurie, parfois un peu frizzante.

Côté culture, beaucoup d'expositions que nous n'aurons pas eu le temps de voir dans les palazzi du centre-ville. Comme dans toutes les grandes villes portuaires, les ruelles du centre historique ont un aspect un peu inquiétant le soir tombé mais il faut prendre le temps d'explorer ce labyrinthe de vico, vicolo et escaliers coincés entre les buildings où se mêlent boutiques et restaurants de toutes les cultures.
En somme, une ville à découvrir plus en profondeur, de préférence avec le soleil la prochaine fois.
Nous avons traversé plusieurs ces tunnels et
RépondreSupprimeradmiré les paysages sur le bord de la Méditerranée.La vidéo nous rappelle de beaux souvenirs.
Marthe et Réjean