samedi 26 juin 2010

Le goût

Quel aura été le goût dominant de notre périple ? Celui de la tomate je dirais.

Nous avons mangé au moins 30 formes de pâtes différentes apprêtées de maintes façons, toujours cuites al dente sauf une fois ou deux, c'est dire le respect dévolu à cette invention en Italie. Nous n'oublierons pas de sitôt les caramelle, des pâtes en
forme de bonbons, farcies aux champignons et dégustées dans un restaurant de campagne près de Cortona...



Ici des ronds électriques, 
pratiquement partout ailleurs au gaz




Mémorable aussi, cet espadon cuisiné à Palermo à quelques mètres du marché où nous l'avions pêché acheté. Avec des câpres locales au sel et du citron de Sicile...

Les côtes de veau tranchées devant nous à Lucca, jamais préparées d'avance...

La foccaccia de Giusto...

Les oranges cueillies sur notre balcon romain et dans un stationnement
(!) de Pompéi...

Le parmesan, le grana padano, la mozzarella, sans oublier le pecorino romano...

Les olives. L'huile surtout. Ah ! l'huile d'olive... plein de régions prétendent en produire de la très bonne...

La cuillère à soupe de pesto maison coiffant les penne d'une cantine familiale de Massa Carrera n'a pas trouvé d'égal ailleurs, même pas à Genova...

Le vino rosso et le prosecco, moins chers qu'un Coke.










À Matera, caffè au décor contemporain où l'on consomme old fashion : debout au bar


Le caffe. Le breuvage et le lieu. Les deux symbolisent les Italiens bavards, diligents mais pas pressés (combien de fois nous sommes-nous fait répondre à gauche à droite par des Italiens : Tranquillo !... voulant dire : pas de problème, prenez tout votre temps).

Boire comme une grande c'est amusant



Érica devant une étal de tarallis des Pouilles


Carbonara : personnage historique du XVe siècle ayant donné son nom à un plat célèbre, ainsi qu'à cette rue de Napoli


Pâtes longues aux palourdes

Le chocolat de Modica confectionné selon des méthodes traditionnelles, avec des cristaux de sucre et sans beurre de cacao... Et les beignes de Palermo : si vous n'aimez pas les beignes vous allez changer d'idée en goûtant à ça. Et à bien y penser toutes les douceurs goûtées en Sicile, fondant ensemble des siècles d'occupations arabe, normande, espagnole, etc.

Enfin, les petits citrons. (L'auteur français Alain de Botton a dit en blague qu'il aimerait fonder une religion sur le citron...)





Dessert d'un resto sicilien populaire auprès des travailleurs, à Enna




Erica et Charlotte se délectent d'un dessert au citron à Matera (sud de l'Italie)

1 commentaire:

  1. Quelle présentation que ce chocolat!
    Ça me donne l'eau à la bouche.

    Michelle

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